Printemps, soleil, ciel bleu, végétation en fleur, mais pour certains, rêver à l’ombre des grands arbres n’est qu’un rêve. Lorsque le moindre zéphir secoue les branches, la conséquence est sans appel pour les allergiques. Ecoulement nasal, éternuements à répétition, gorge sèche, maux de tête… Bref, ça gratte, ça brûle, ça fatigue. Atmo Nouvelle-Aquitaine vient de publier une courte vidéo d’animation grand public pour bien comprendre les allergies saisonnières et comment s’en prémunir. A partager sur les réseaux sociaux.
En France, près de 30 % des adultes et 20 % des enfants souffrent d’allergies saisonnières. Les symptômes varient d’une personne à l’autre. Et si vous n’êtes pas certain d’être sujet aux allergies saisonnières, l’observation de certaines manifestations peuvent être le signal : rhume des foins, conjonctivites, maux de gorge ou de tête, associés à une fatigue inhabituelle. Voici l’introduction de la vidéo en motion design proposée par Atmo Nouvelle-Aquitaine. Celle-ci s’inscrit dans le cadre du PRSE et complète la campagne d’information « Bien vivre avec mon allergie au pollen » initiée en juin 2019, toujours en partenariat avec l’ARS, dans l’objectif d’intensifier l’information sur les risques allergiques liés aux pollens, pour que les personnes allergiques puissent anticiper leur traitement et limiter leurs symptômes. Elle est destinée à être largement partagée sur les écrans des officines des pharmacies, cliniques, hôpitaux, salles d’attente des médecins mais aussi halls d’accueil des collectivités, réseaux sociaux, etc…
La vidéo, qui fait moins de 2 minutes, précise ensuite de manière simple et concrète les bons gestes : aérez votre intérieur au moins 10 minutes par jour le matin de bonne heure et le soir avant de se coucher, lorsque la prolifération des pollens dans l’air est au plus bas. Si vous avez les cheveux longs, rincez vos cheveux tous les soirs. De la même manière, évitez de faire sécher votre linge à l’extérieur. En voiture, gardez les vitres fermées. Enfin, pratiquez les activités à l’extérieur, notamment le jardinage et le sport plutôt en fin de journée ! Oui, c’est contraignant ! Mais si vous êtes déjà en crise, il faut limiter au maximum les risques d’exposition pour ne pas empirer la réaction allergique. Et bien sûr, se renseigner auprès de son médecin traitant pour trouver un traitement adapté à ses besoins.